Carolyne ( en cours )

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IDENTITÉ

Collins Carolyne Wayne

« L'homme qui regarde l'horizon ne voit pas la prairie devant lui. »

Age :

Date.de.naissance :

Profession :

Statut :

Enfants :

Oui Non Enceinte

Avatar :

Me connaitre beaucoup mieux

Perfectionniste▬ Direct ▬ Sérieuse ▬ Gourmande ▬Autonome▬ Jalouse▬ Intelligente

Perfectionniste Je suis comment dire à la recherche de la perfection, j’ai beau me dire que je courts pour rien, je ne peux m’empêcher d’essayer. Je ne sais pas si j’arriverais à l’atteindre un jour. Mais bon, pour une fois, je me demande si la perfection est juste pour moi ou pas. Tout bonnement parce que la perfection me pousse à aller le plus loin possible. Direct Pour moi, je ne peux pas m’empêcher de me dire que la façon dont on dit les choses est d’autant plus important. Sachant bien que tourner autour du pot ne me convient pas. Donc pourquoi mentir ? Je sais bien que cela ne plait pas aux gens que je sois directe. Néanmoins, je suis comme ça donc, je ne vais pas m’arrêter pour autant. Sérieuse Le nez dans les bouquins ! Oui, je ne suis que ça, enfin presque. Les livres sont pour moi une façon de comprendre les choses. Alors avoir une bonne attitude permet de bien accepter les informations. Gourmande Oh le chocolat, les fraises, les fruits, les biscuits, je suis trop gourmande ! J’adore ça, je ne peux pas oublier de manger lorsque j’ai un petit creux ou lorsque je suis contrariée. Autonome Tout comme je suis assez libre de faire ce que je veux, j’ai dû me prendre en charge. J’ai dû me dire qu’il fallait que je fasse mes tâches toute seule. C’est vrai qu’avec l’argent de ma famille j’ai eu la possibilité de faire un peu tout ce que je désirais. Jalouse Je ne sais pas pourquoi mais parfois je sens que je dois montrer un peu les crocs. Alors mon petit côté jaloux prend le dessus sur moi. Je ne le suis pas trop souvent, mais je me doute que parfois cela me pose problème. Donc j’essaye de faire de mon mieux, mais c’est la seule façon pour moi de protéger les gens que j’apprécie le plus au monde. Intelligente Je ne sais pas si je peux dire que je suis intelligente ou pas, je sais juste que j’essaye de faire au mieux de façon la plus pratique qui soit. Après vous me direz que j’utilise bien mon petit cerveau, et bien, je prends ça pour un compliment. En espérant que pour une fois, je ne vais pas faire de bêtises.

Répondre aux questions

Si tu devrais choisir un être ...

♣ Une Cacahouette ou une Pistache ? Pistache.
♣ Un Portable ou une Lettre ? Les deux.
♣ Une Saucisse ou un Pâté ? Saucisse.
♣ Un Crabe ou une Crevette ? Crabe.
♣ Une Voiture ou une moto ? Hum, voiture.
♣ Une Viande ou une salade ? Les deux.
♣ Friends ou How i met your mother ? Friends.
♣ Noel ou la st valentin ? Aucun des deux.
♣ Britney Spears ou Madonna ? Les deux.
♣ Un bonbon ou un chewing-gum? Bonbon.

Ton histoire

Ici tu devras nous raconter ton histoire. Parle nous du passé, du présent et/ou du futur. Ton histoire peut se présenter sous la forme que tu veux (journal intime, roman, interview, ...)
Tu devras faire un minimum de 20 lignes.
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Derrière ton écran

Kimiko.

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Ton histoire

« Le seul profit d'une flatterie est qu'en entendant ce que nous ne sommes pas,
nous pourrions être instruits de ce que nous devrions être. »

Il y a un moment donné où vous ne savez pas quoi faire, il y a eu un effet qui vous a rendu dans une pagaille assez certaine, comment dire, lorsque vous avez vécu tout un tas de choses, il y a une erreur plus ou moins importante dans votre vie, dans votre travail vous ne faites pas toujours ce que vous voulez. Je me rappellerais toujours ce jour où j’ai eu un drôle de vol dans les aires. Alors que j’étais en mission à l’étranger, je ne pus pas vaincre un aspect de cette mission, j’ai failli avoir une rencontre dans les aires. D’ailleurs alors que j’avais eu cet accident plus ou moins dangereux. Mon coéquipier dans l’avion d’à côté a eu son avion éclaté en mille morceaux. Allant voir où est-ce que venais le missile, je dus me rendre à la base après avoir pris en chasse l’avion ennemi. Vaincu, oui mais bon, un coéquipier plus ou moins dans un fauteuil roulant et moi bien entendu chez le psy. Dans la salle devant cette personne que je ne connaissais pas j’ai dû avant tout l’écouter du mieux que je pouvais.

- « Bon Mlle Wayne Collins, il faut que vous reveniez dans votre enfance. Pour cela vous allez me parler de vos souvenirs. »

- « On est vraiment obligé de le faire ? »

- « Oui, Mademoiselle, il faut le faire, sinon vous ne pourrez pas reprendre votre travail. »

- « Vous voulez savoir quoi ? Je suis la deuxième d’une famille de quatre enfants, j’ai deux sœurs et un frère. D’ailleurs, je ne les vois pas souvent. Pour la plus grande, mon travail est trop dangereux quant aux deux autres nos relations sont aux beaux fixes. C’est ce genre de truc que vous voulez savoir ? »

Une personne qui note tout sur sa feuille, et qui vous regarde alors avec un air plus ou moins constipé du dessus de ses lunettes. Assises devant le psy, je ne voulais qu’une chose s’était me tirée d’ici. Mais bon, mon petit côté sérieux me dit qu’il faudrait mieux que je participe un peu à la conversation. Tout d’abord vous avez aussi une envie première de ne pas vous trompez dans des propos plus ou moins bien adéquat. De toute manière, il était évident que je devais alors participer un peu à ses questions.

- « D’après votre dossier, vous êtes partis à l’âge de treize ans avec vos parents de Londres ; est-ce vrai ? »

Ouh, une question qui fâche….Aie, je n’aime pas ce genre de questions, je préférais avant tout ne pas à y répondre, mais parfois il faut savoir aussi répondre.

- « Oui et alors ? Je fais ce que je veux non ? Je n’avais pas une famille très famille, puis de toute façon, je préférais m’en aller rien que pour avoir un peu d’air. Vous savez une famille riche on n’a pas toujours ce que l’on veut. Il faut bien que les parents s’en occupent de leurs enfants, mais parfois chez certains, cela n’est pas le cas…. Puis mes parents sont allés à Long Beach, je me suis décidée alors à les rejoindre après avoir fait une petite vadrouille. »

Oui tout d’abord, je ne voulais pas que je sois dans une mauvaise passe. Néanmoins, je ne peux pas avoir tout ce que je veux. Me mettant dans le fond du fauteuil, je voyais bien que je devais alors avoir une envie folle de parler de ma vie. De parents pas trop présents et d’une idée bien plus simple pour moi d’éviter les autres questions. Mais comme qui diraient les psys : « chaque chose en son temps. » Tout d’abord, je ne sus pas trop si je devais ou pas suivre à cet interrogatoire. Je ne désirais pas me tromper dans mes propos. Mais il fallait bien trouver l’équilibre dans la vie, et je pensais bien l’avoir perçu un bref instant. Tout en me rappelant que l’un de mes sœurs, Eva n’avait pas et n’apprécie pas aujourd’hui mon travail. Mais après tout elle aussi, elle fait un métier qu’elle aime. Donc je ne voyais pas pourquoi est-ce que je devais alors changer pour lui faire plaisir. La seule chose qui n’allait pas chez elle était qu’il fallait toujours qu’elle tourne nos parents en bourrique. Pour qu’ils aillent à sa cause de me faire changer de métier. Mais il n’y a pas de sous métier, donc, je ne voyais pas pourquoi est-ce que je devais faire autre chose pour elle.

« Quand tu montes à l'échelle, souris à tous ceux que tu dépasses,
car tu croiseras les mêmes en redescendant. »

Puis alors que je pensais en avoir fini avec les questions, j’en entendis une qui me disait que j’aurais encore à parler de moi. . Je ne suis pas très bavarde parfois, néanmoins, alors que je ne savais pas si j’aurais encore à supporter ce rendez-vous, je me demandais bien si ma famille a été mis au courant pour cet incident des aires. Il était donc normal, que je passe aussi par des questions concernant les êtres chers. Il n’y a pas toujours que le sujet que vous voulez, il y a un tout qu’il ne faut pas oublier.

- « Vous êtes anglaise n’est-ce pas ? Votre pays ne vous manque pas ? »

- « Comment avez-vous deviné ? Oui c’est marqué sur mon dossier, et oui, mon pays me manque, mais comme qui dirait alors mon père : « On ne fait pas parfois tout ce que l’on veut. Il faut savoir changer d’air. Je suis venue aux Etats-Unis vers avant mon départ de la maison. Je suis allée à Long Beach en 1996, j’avais treize ans à ce moment-là. Puis mes parents m'ont rejoint ici. »

Après avoir avancé un peu plus pour donner l’impression que je m’intéressais à la conversation. Mais tout en me remettant le long du dossier, je ne pensais pas que j’aurais une autre sensation dans les doigts. Alors que je voyais un peu de souvenirs, je me disais que je n’avais pas encore abordée cet accident d’avion. J’avais été témoin d’une chose plus ou moins violente. Et tout comme j’étais militaire, il fallait que je fasse un check-up. Le silence me donnait un appui, je ne voulais qu’une chose s’était m’en allée, mais alors que je pensais que la suite était finit. Une autre question arriva.

- « Parlons maintenant de cet accident, voulez-vous ? Vous vous souvenez de quoi ? »

Un regard qui s’assombrit, une sensation qui vous donne la chair de poule, une envie de partir encore dans les aires tout simplement pour partir dans les nuages. Un visage qui a soudainement la peur qui en dit long sur le passage de votre vie qui a été le plus dangereux. Un psy qui vous voit triste et qui ose mettre sa main sur la vôtre pour vous rassurer. L’enlevant j’eus une simple réflexion qui me venait en tête, mais je ne la disais pas tout bonnement parce que je ne voulais pas me mettre dans une mauvaise position. Voyant la personne en face de moi, je ne sentais pas trop qu’il fallait que je joue avec ça.

- « Un missile qui vous arrive en pleine figure et qui va dans l’avion du coéquipier vous en pensez quoi ? Une sensation qui vous donne la chair de poule comme si c’était votre dernier jour. Un soleil qui vous empêche de voir tout ce qui se voit, une mission qui vous donne l’ordre de faire votre devoir sans pour autant laisser votre coéquipier sur le sol. Des radars qui s’affolent, des outils qui sont dans l’avion qui vous dise que vous faite de la voltige dans les aires. Votre cœur qui bat la chamade, et la sensation que vous serez mieux sur le sol…. »

Une voix qui n’est plus aussi forte au fur que vous racontez votre calvaire dans les aires. Mais bon, vous tremblez de toute part, la seule chose que vous voulez c’est partir loin. Tout bonnement parce que vous avez toujours fait ce que vous voulez avec l’argent de vos parents. Néanmoins, cet accident des aires vous permet de vous rendre compte que la vie est plus courte qu’elle n’y parait. Alors que le silence allait prendre sa place, j’entendais une phrase.

- « Vous voulez un verre d’eau ? Vous pouvez continuer un peu votre accident ? »

Un regard qui ne demande pas la suite, mais bon, il faut parfois vaincre ses peurs….

- « Non merci pas de verre d’eau… »

Une pause, un simple arrêt juste pour reprendre le fil de la conversation. Fermant les yeux un instant, je me souvenais alors du reste de cette drôle d’aventure aérienne. Rouvrant les yeux, je continuais mon récit.

- « Après avoir volé sur la cible ennemie, j’ai finis par la mettre en mille morceaux de métal. Je suis retournée à la base pour voir si mon coéquipier allait bien. Il avait été récupéré par l’équipe au sol. En fait il y a eu une bonne fin à par une peur qui vous donne une sacrée bonne leçon de vie… »

Une fin que j’espérais ne plus à avoir encore à vivre. Pour finir, je ne pensais pas donc que j’aurais encore la chance de m’expliquer pour une fois, j’avais l’impression que l’on m’écouter. Je n’étais pas en harmonie avec moi-même, mais bon, il y a un début à tout, malgré les cauchemars, malgré le fait que je ne dorme presque plus, je ne pouvais pas m’empêcher de ressasser ce truc à longueur de journée. J’avais donc du mal à me concentrer sur mon travail

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Ton histoire

« Dieu fit les hommes inégaux. Le colt les rendit égaux. »

Une bonne nouvelle, enfin j’espérais une bonne nouvelle histoire de me sentir un peu mieux, j’avais comme la sensation que le psy enlevait des tranches de ma vie pour les analyser au microscope. Je voyais bien un tailleur de bois prendre le temps d’enlever l’écorce puis trouver la couche de bois avant de graver dedans tout ce qui pourrait me rendre plus lisible. Dans le fond, je me voyais bien en statue de bois docilement sculptée pour en faire un hommage. Alors que je me posais la question sur ce qui allait m’arriver, j’entendis le téléphone sonner. La personne en face de moi répondit qu’elle était occupée puis raccrochant, je vis qu’elle avait encore une question enfin des tas à me poser. Se tournant vers moi, je vis qu’il était temps pour moi de lui parler un peu plus de moi. En tous les cas, la personne écrivait sur sa feuille. Je me demandais bien ce qu’elle notait. J’avais bien une idée du genre, elle dessine puis écris sur son ordinateur tout ce qu’on a dit. Mais je me doutais, dans l’armée, on n’appréciait pas la paperasserie, donc, à mon avis, elle écrivait comme il le fallait. Ensuite, alors que je me posais la question de savoir quel sujet on allait aborder, j’entendis une question qui me fit me tourner dans mon fauteuil.

- « Mlle Wayne Collins, est-ce que vous êtes prête à reprendre du service ? »

L’effet de surprise se fit d’autant plus fort que je ne savais pas trop quoi répondre, je ne sus pas avant un long moment de réflexion que les aires était la seule chose ou presque qui me tenait à cœur. Tout en observant la seule idée de ne pas voler dans le ciel me donna le tournis un bref instant. Cela ne s’annonçait pas trop bien pour moi, je ne me doutais pas que je répondrais alors aussi prestement mais franchement que possible.

- « Pour être franche avec vous, j’aimerais beaucoup reprendre du service, je tourne en rond chez moi. Je sais bien que cette décision ne vous appartient pas, mais je vais bien, donc j’aimerais tellement revoler dans le ciel. Je n’ai pas finis ma mission de défendre mon pays. »

La personne notait tout, puis me regardant alors que je venais de finir de parler, elle avait dû voir que mon uniforme était complètement bien repassé avec les plis parfaitement mis à leur place. Lorsque vous travaillez avec un uniforme, il faut déjà commencer par le respecter avant de faire vos taches. Reposant sa feuille sur le bureau, je vis la personne m’observer d’autant que je devais sans doute montrer des petits gestes d’impatience, cela faisait au moins une heure et demie que j’étais assise sur ce fauteuil. Bien qu’il soit confortable, je me disais bien qu’il était alors inconcevable pour moi de partir sans réponse. Tout en me disant qu’il était temps pour moi de savoir si je dois changer de métier ou pas.

- « Alors, dites-moi, je peux reprendre mes missions ou pas ? »

Il était de mon intérêt de ne pas oublier que je suis avant tout un militaire, et que parfois il faut savoir respecter l’ordre que l’on vous donne. Bien que je sois surprise d’avance pour la réponse que l’on va me donner, je suis un peu incertaine de la suite à donner.

- « Effectivement c’est mon rapport qui va donner la décision à vos supérieurs. Donc, pour le moment, je peux seulement vous dire que vous partez d’un bon point. Vous allez y arriver ne vous inquiétez pas. Déjà vous me parlez donc c’est une bonne chose de faite. »

Une joie, elle devait se voir sur mon visage, j’avais donc la possibilité de trouver une réponse à mes questions. Je pouvais toujours alors savoir que j’aurais le droit de reprendre mon travail. Souriant, je me rendais compte que pour la suite, je n’aurais que très peu de peur pour répondre à ses questions.

« Un lion ne s'attrape pas avec une toile d'araignée. »

Contente, oui je l’étais, je me demandais ce que dirais mes sœurs et mon frère s’ils savaient alors ce que j’avais vécu. Néanmoins, je ne désirais pas pour autant les croiser de peur de ne pas savoir quoi leur dire. Pour le moment, je patientais face à la prochaine question, il était évident que je n’aurais pas toujours le choix mais pour une fois, je voulais collaborer rien que pour montrer que j’avais un peu de bonne volonté dans mes propos. Je ne pensais pas que l’entretien se finirait sur de drôle des questions. Tout d’abord la personne me demanda ce que je faisais pour m’occuper lorsque je ne travaillais pas. Je répondais que je lisais, aller au cinéma, je faisais les choses comme tout le monde. J’eus alors un sourire en face de moi, surprise une fois de plus, je me rendais compte que finalement, je pouvais aussi avoir des réactions humaine comme le psy. Dans le fond, cela n’était pas bien méchant ce rendez-vous. Il suffisait juste de se contenir et de parler comme il le fallait. Je m’apercevais que tout le monde en fait ne sont autre que des êtres humains. Depuis cette sensation-là, je me rendais compte que finalement, je pouvais aussi vivre tout en faisant ce que je désirais le plus au monde. Le fait de continuer de se battre était pour moi une raison de vivre qui me permettait de me sentir du mieux possible.

Je dirais que cela était quelque chose de fort, j’étais fidèle à mes propos, je ne devais pas oublier tout ce que je disais. Mais pour le moment, je voulais être sereine rien que pour être mieux. Enfin de compte, je me rendais compte que cela se calmerai par la suite sans que je ne fasse quelque chose. Il ne fallait pas que je me précipite. Je devais maintenant prendre mon temps pour analyser les choses. Rien que pour être en éveil, je ne désirais qu’une chose : « vivre à nouveau en harmonie avec mon âme. » Ayant au bout des bras le manche de l’avion. Je ne faisais qu’un avec lui. Alors comment dire, je ne pouvais pas me dire que je n’aurais plus l’occasion de prendre l’avion. Dans mes pensées, je fus réveiller par une drôle de questions.

- « Le ciel, vous manque, n’est-ce pas ? Vous avez l’air d’être dans vos nuages. »

Un sourire qui en disait long sur la réponse, une attitude qui annonçait rapidement que la réponse était oui.

- « Effectivement, je suis dans les nuages en permanence. Je me doute que cela ne doit pas trop être normal. Mais bon, je suis comme ça, je n’aime pas rester sur la terre ferme. »

- « Il n’y a pas de mal à vouloir faire ses rêves. Seulement, il ne faut pas oublier le reste de la famille. Vous avez reçu des lettres, mais vous n’y avez toujours pas répondu. »

- « Oui je sais, Deliah et Alexander mon écrit. Ce n’est pas que je n’aime pas leur répondre, mais je n’ai pas encore eu le temps, je les ai appelé à la place. Je sais bien que ma petite sœur pense que je ne profite pas assez de la vie, elle ne l’écrit régulièrement. Mais bon, il faut parfois un temps pour tout, d’ailleurs vu le congé forcé, je m’occupe calmement. De toute façon, je n’ai pas le droit de prendre un avion. Hihihi, je suis assez prise par les tâches ménagères, les courses, et autres passions. J’en profite de la vie. Hihih. »

Puis je me rendais compte qu’à la fin de ce rendez-vous j’avais eu droit à une rencontre plus ou moins agréable. Ah les souvenirs sont avant tout bien amusants enfin pas tous. Parfois, il y a un caillou fou qui vous rend content. Néanmoins, rien que pour une fois, j’avais le sourire. L’envie de faire à nouveau des petites blagues dans les vestiaires. Mais elles ne sont pas méchantes juste pour donner un peu de sourire aux collègues. En tous les cas, je me demandais bien ce que diront la famille une fois que je les verrais à nouveau dans la ville. Le fait de les voir me donnait l’impression qu’ils sont toujours là au bon moment au bon endroit. Je ne souhaite pas forcément me dire que j’avais le temps de voir les choses dans le bon ordre. Techniquement je suis dans mon droit de penser qu’une bonne bataille aux tartes à la crème serait avant tout quelque chose de drôle à faire en famille. Pour finir, j’avais eu droit à une hypothèse bien plus grande qu’avant. Je n’aurais pas trop de soucis à me faire. Enfin de compte tout se passerait bien, il me resterait plus qu’à attendre la suite des évènements.

- « Enfin de compte tout va bien, vous aurez alors une réponse à vos questions. Tout va bien se passer ne vous inquiétez pas. »

- « Si vous le dites, je ne vais pas vous contrarier. Enfin, je vais prendre de bonnes résolutions. »

- « Oui c’est une bonne idée, vous allez faire quoi ? »

- « Je compte voir ma famille, profitez de mes ami(e)s et j’espère que je vais m’améliorer de façon à être meilleure par rapport à avant. »

- « Oui effectivement c’est une bonne idée. J’espère que cela sera mieux pour vous. »

La suite allait se trouver être bien amusant. Je préférais avant tout ne pas entendre ça. Mais le psy m’a alors annoncé que le rendez-vous était finit, puis souriant, je me disais bien que j’avais eu une bonne idée de venir enfin d’accepter de venir. Me levant, je lui serrais la main avant de partir pour chez moi. Voyant les autres marcher sur la base, je les saluais sans leur dire que finalement tout aller bien ou presque.