« Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort »
Auteur Message i'm Edward J. Crawford
♣ TOY BOY ♦ I'm gonna break your heart ▬ Arrivé(e) à LB : 08/05/2011▬ Messages : 817
Sujet: « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort » 14.05.11 23:34 Me connaitre beaucoup mieux Infidèle- Protecteur - Impulsif - à l'écoute - Méfiant - Mystèrieux - Méchant
La moindre des choses que l'on peut dire est qu'Edward est quelqu'un loin d'être simple. Il a un caractère bien particulier et beaucoup disent de lui qu'il est dur à cerner. Personne n'est parfait comme on dit. Mais en ce qui conserne Ed, il en a bon nombre de défaut qui ne passent pas reelement innapercu. Envers les gens qu'il aime il est très protecteur, mais parfois, lorsqu'il l'est trop, il devient
possessif. Il a un crochet du droit qu'il lui arrive d'utiliser quand besoin est, mais il lui arrive parfois même d'être trop
violant , . Ses amis disent de lui qu'il est trop
mystèrieux et
méfiant . Il a du mal à faire confiance, et les personne sur qui il peut compter sont peut nombreuse. Il garde de lourds secret et ne s'accorde aucune minute de répis quant à la protection de ce dernier. Personne absolument personne de doit en savoir le traitre mot. Il est aussi très
peu fidèle en amours , en réalité, il ne veut pas d'amour dans sa vie. Il trouve ça inutile et préfère largement s'amuser à droite à gauche. Il considère la plus part des filles comme des jouets et rare sont celles qu'il respecte.
Mais heureusement, pour contre-balancé son caractère, il est doté de quelques qualités. C'est un homme des plus
protecteurs . Il ne supporte pas de voir les gens qu'il aime triste ou malheureux et n'hésite pas à frapper si quelqu'un est en danger. C'est quelqu'un de
confiance , il sait garder les secrets de ses proches comme les siens, dans sa boîte de pandore personnelle. Il est aussi très sincère, et à du mal à comprendre les hypocrites. Il préfère une vérité qui blesse plutôt qu'un mensonge qui tue. C'est un
ami fidèle , contrairement à ce qu'il en est en amour. Toujours présent lorsqu'un proche à besoin de lui, il accorde facilement de son temps à ses amis. Il aime faire la fête et s'amuser gaiement en bonne compagnie, il a aussi de bonnes manières inculquées par sa mère tout au long de son enfance.
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Si tu devrais choisir un être ...
Une Cacahouette ou une Pistache ? Pistache
Un Portable ou une Lettre ? Cellphone
Une Saucisse ou un Pâté ? Foi gras ?
Un Crabe ou une Crevette ? Crevette
Une Voiture ou une moto ? Les deux mon capitaine !
Une Viande ou une salade ? Viande; charaaaal
Friends ou How i met your mother ? Friends !
Noel ou la st valentin ? Noel pour voir Santa !
Britney Spears ou Madonna ? Une chauve ou une ridée ? Huum le choix est dur.
Un bonbon ou un chewing-gum ? Chewing-gum
Dernière édition par Edward J. Crawford le 29.05.11 14:33, édité 12 fois
i'm Edward J. Crawford
♣ TOY BOY ♦ I'm gonna break your heart ▬ Arrivé(e) à LB : 08/05/2011▬ Messages : 817
Sujet: Re: « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort » 15.05.11 0:02 Ton histoire . « Toutes les enfances ne sont peut-être pas des romans mais la mienne en est un. Une fiction triste, une histoire d'amour ratée dont mon frère et moi sommes les fruits. Nous avons vécu un bonheur Canada Dry. C'est une vie qui a l'apparence du bonheur; ça ressemble au bonheur, on dirait du bonheur mais ce n'est pas du bonheur. On devrait être heureux, on ne l'est pas ; alors, on fait semblant.»
« Il est une légende qui raconte que l'enfant dans le ventre de sa mère connaît tous du mystère de la création, de l'origine du monde jusqu'à la fin des temps. A la naissance, un messager passe au-dessus de son berceau et pose un doigt sur ses lèvres pour que jamais il ne dévoile le secret qui lui fut confié, le secret de la vie. Ce doigt posé qui efface à jamais la mémoire de l'enfant laisse une marque. Cette marque, nous l'avons tous au-dessus de la lèvre supérieure, sauf moi. Le jour où je suis né, le messager a oublié de me rendre visite, et je me souviens de tout. » Il était une fois, l'histoire des plus beau jumeaux du monde; les frères Crawford. Ils ont vu le jour sous une pluie torrentielle du mois de janvier; au Memorial Hospital de Long Beach. Leur mère ne cessait de leur répéter « Le jour où vous êtes nés, il pleuvait beaucoup car Dieu a pleuré toutes les larmes de son corps quand il s'est rendu compte qu'il avait perdu ses plus beaux anges» Ce qu'elle ne savait pas encore c'est qu'elle n'avait mis au monde qu'un ange, l'autre avait été croisé avec le diable. Ses jumeaux étaient nés avec un mois d'avance et avaient du rester en couveuse le temps que leur poids soit convenable. Durant tout ce temps, leur père passait en coup de vent à l’hôpital, une fois par semaine pour veiller sur ses progénitures, mais ne prenait pas plus de temps. Leur mère à peine les avait elles mis au monde devait reprendre petit à petit son travail d'architecte. Une fois sorti de la matrice dans laquelle ils avaient fini de grandir, ils purent enfin rentrer chez eux, où leur parents avaient préparé deux magnifiques chambres. Leur mère avait tout préparé pour leur venue. Ils vivaient dans une très grande maison, luxueuse. Ils ont grandi avec tous l'amour qu'une mère peut apporter à ses enfants, mais ni elle ni son mari n'était présent pour eux quand ils en avaient besoin. Ils ne voyaient jamais leurs parents aux fêtes de l'école, personne ne venait les voir chanter à la chorale en primaire, et ils n'ont jamais été supporté lors des compétitions de judos au coins de la rue. Ils n'avaient personne sur qui compter à part l'autre. Ces jumeaux étaient inséparables, toujours là l'un pour l'autre. Ils jouaient souvent à se prendre pour l'autre, à échanger leurs identité. Ils n'avaient qu'une même personnalité pour deux corps. On aurait pu les prendre pour des siamois s'ils n'avaient pas eu leurs corps séparés. Ils n'ont jamais eu besoin de mots pour se comprendre, et heureusement qu'ils étaient deux, sinon l'un d'entre eux aurait fini terriblement seul.. « Je vous dirais simplement qu'à part ça, tout va bien. A part d'un père. Je ne manque de rien. »
« L'important,c'est que mon grand-père n'avait jamais connu son père parce que celui-ci était mort. Moi, c'était presque pire : je fus privé de père alors qu'il était vivant. Ma fille endure sans doute la même étrange absence ; le silence des vivants est plus difficile à comprendre que celui des morts. » Nous avons grandi comme nous pouvions, en nous soutenant l'un l'autre. Mais jamais mon père n'a été la pour nous. Il était toujours absent, en voyage d'affaire comme nous disait maman quand nous étions plus jeunes. Pourtant nous avions très rapidement compris qu'il se passait quelque chose d'étrange. Quelque chose n'allait pas. Elle nous avait toujours caché le vrai métier de papa. Peut être parce qu'elle même ne le savait pas vraiment. Après, je le comprend, comment avouer à sa femme que tous les jours, on traque des gens pour en savoir plus sur eux, et que si besoin est, on doit les éliminer ? C'est sur que ce n'est pas quelque chose de facile à dire. Maman nous avait toujours protégé de lui. Il lui arriver souvent de rentrer tard, le soir complètement bourré et de s’énerver pour un rien. Nous l'avions à plusieurs reprise, surpris Aaron et moi en train de frapper Maman, pourtant jamais nous avions pu intervenir. Avec le temps, il passait de moins en moins à la maison. Durant notre adolescence, nous ne le voyions jamais. Ils nous offrait tout ce dont on désirait, certes, mais n'était jamais présent. Je me doute qu'il s'en voulait, mais il ne faisait rien pour arranger ça.« On vit... comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore... Chaque jour est l'inconsciente répétition du précédent: on mange autre chose, on dors mieux, ou moins bien, on baise quelqu'un d'autre, on sort ailleurs. Mais c'est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. Gosses. On se défonce à les réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustré pour l'éternité, soit on y parviens et on se rend compte qu'on s'en fous. Et puis on en crève. Et la boucle est bouclée. Quand on se rend compte de ça on a singulièrement envie de boucler a boucle immédiatement, pour ne pas lutter en vain, pour déjouer la fatalité, pour sortir du piège. Mais on a peur. De l'inconnu. Du pire. Et qu'on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon, on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs, on appuierait sur la lame de rasoir jusqu'a ce que le sang gicle... » Alors que j'entrais dans l'adolescence, sans autre présence masculine que celle de mon frère, je réaliser que de vivre trop l'un sur l'autre pendant toutes ces années avait fini par me pousser à bout.. Pourtant, il était toujours aussi important pour moi, si ce n'est plus, mais j'avais besoin qu'on me différencie de lui. Petit à petit, j'ai commencé à changer et à devenir le con que je suis désormais. J'ai vécu une jeunesse désillusionné. Mon frère & moi passions peut de temps à la maison, car nous pouvions faire comme bon nous semblait; aucun parent à la maison pour nous dire ce qu'il ne faut pas faire. Toujours en sortie, nous étions les rois de la nuit. Parmi les plus populaire du lycée, aucune soirée ne se faisait sans nous, et cette réputation, nous la gardons encore désormais. . « J'ai appris que pour être heureux, il faut avoir été très malheureux. Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide. »
Avec le temps, notre père ne s’arrangeait pas, ils devenait de plus en plus violent, de plus en plus accroc à la drogue et à l'alcool. Parfois il partait des mois entier à l'étranger, pour un soit disant voyage d'affaire, qui n'était en réalité qu'une nouvelle mission. Maman encaissait le coups et ne disait rien à chaque fois qu'il la frappait, elle le cachait et ne nous disait rien. En faite, elle l'aimait enormement et elle ne se voyait pas le quitter. Pourtant, elle aurait du. Elle avait prit l'habitude de ses crise et elle l'affrontait avec dignité. Jusqu'au jour où c'est allé trop loin. Alors que nous étions dans nos chambres il est rentré; il était tard et notre mère n'avait rien préparé pour lui alors que son retour était prévu. Il s'est énervé une fois de plus, et a commencé à la frapper, contrairement aux autres fois, elle n'a pas pu retenir ses cris. Il l'a étranglé si fort qu'elle n'a plus pu respirer. Après s'être rapidement concerté, avec Aaron, nous avions décidé d'intervenir. Alors qu'il tenait notre mère par le cou depuis quelques minutes, nous l'avions menacé de lui tirer dessus s'il ne s'arretait pas, puis, puisqu'il refuser de la lâcher, j'avais tiré. Il était tombé, relâchant notre mère dont je coeur ne battait déjà plus. Je l'avais tué avec l'une des armes qu'il cachait sous son lit. Pourtant, je n'avais pas réalité, pas pris conscience de ce que ça entraîner d'avoir tué notre père . Je n'avais pas voulu le tuer, j'aurais souhaité le blesser, pour qu'il lâche enfin celle qui nous avait élevé. Mais le coup était parti et l'avait touché trop prêt du coeur. Je tremblait, je pleurait, et Aaron en faisait de même, nous étions impuissant face à ce tableau morbide. Nous ne savions pas quoi faire. Je ne voulais pas aller en prison, même s'il s'agissait de légitime défense, je n'aurais pas supporté cette épreuve. Après avoir placé le revolver dans les mains de celui qui avait tué celle qui nous avait donné la vie; en pleure je dis à mon jumeau.«On ferra croire à un suicide, on dira qu'on était au courant de rien que nous n'étions pas là quand c'est arrivé. On ne peut pas rester là, les voisins vont arriver s'ils ont entendu du bruit. On sort par derrière & on va en soirée, fait comme si de rien était mon frère. C'est mieux pour nous, je risque la prison et je ne peux pas. Fais moi confiance. » Nous sommes donc sorti, comme si rien ne s'était passé et après une longue et difficile soirée, un agent de police nous appelait. Il nous annonçait la mort de nos parents. Nous nous sommes rendu au postes pour répondre à certaines interrogations. A bout de nerfs nous ne pouvions pas retenir nos larmes. Nous venions de perdre nos deux parents. Après une longue période de deuil, nous nous étions mis d'accord, je partirais pour l'Italie dans notre famille éloignée pour arrêter de penser à ce meurtre, tandis qu'Aaron irait à New York chez nos cousin.. « Je n'appartiens pas à un système, j'ai toujours lutté contre ça. Je vois les gens que j'aime, je vais là où je veux, je lis un livre parce qu'il m'attire et non parce qu'il faut « absolument l'avoir lu » et toute ma vie est comme cela. Et je ne m'embarasse pas du reste.»
Dernière édition par Edward J. Crawford le 29.05.11 18:29, édité 5 fois
i'm Ulysse S. Williams
♣ TOY BOY ♦ I'm gonna break your heart ▬ Arrivé(e) à LB : 25/04/2011▬ Messages : 1004
Sujet: Re: « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort » 29.05.11 11:18 Citation : Une Saucisse ou un Pâté ? Tu n'a pas répondu, alors aby paté ou saucisse ? tu en met du temps pour choisir. On voit que tu blagues pas avec la nourriture !
Citation : Nous avons vécu un bonheur Canada Dry. C'est une vie qui a l'apparence du bonheur; ça ressemble au bonheur, on dirait du bonheur mais ce n'est pas du bonheur. On devrait être heureux, on ne l'est pas ; alors, on fait semblant. j'adore c'est vraiment une expression connu ça "canada dry" ?
je me suis régalé avec tes citations
j'adore j'adore j'adore !
i'm Edward J. Crawford
♣ TOY BOY ♦ I'm gonna break your heart ▬ Arrivé(e) à LB : 08/05/2011▬ Messages : 817
Sujet: Re: « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort » 29.05.11 13:42 Ariana, on ne plaisante pas avec les bonnes choses
Canada Dry c'est une boisson à la base qui remplace l'orangina je crois bien; c'est un peu comme le pepsi avec le coca quoi ^^ & Ouais c'est assez connu comme expression(a)
Ces citations, elle sont juste
(a)
i'm Ulysse S. Williams
♣ TOY BOY ♦ I'm gonna break your heart ▬ Arrivé(e) à LB : 25/04/2011▬ Messages : 1004
Sujet: Re: « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort » 29.05.11 13:58 Edward J. Crawford a écrit: Canada Dry c'est une boisson à la base qui remplace l'orangina je crois bien; c'est un peu comme le pepsi avec le coca quoi ^^ & Ouais c'est assez connu comme expression(a) tu m'en apprends des choses
Sujet: Re: « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort »
« Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ... Mais moi je suis déjà mort »
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